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EN BREF
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À partir du 1er mai 2025, une nouvelle règle introduite par une compagnie aérienne low-cost influente prévoit que tout retard au moment du dépôt des bagages à l’aéroport pourra coûter 100 € aux voyageurs. Cette mesure, placée sous le signe de la ponctualité, cible ceux qui voyagent avec un bagage en soute et se présentent moins de 40 minutes avant le départ prévu. Cet article détaille les conditions de cette nouvelle politique, ses implications pour les passagers ainsi que les options payantes désormais incontournables pour éviter tout désagrément.
Une mesure stricte pour garantir la ponctualité
La première compagnie aérienne d’Europe en nombre de passagers introduit une nouveauté marquante : à compter du 1er mai, chaque retard au comptoir de dépôt des bagages s’accompagne d’une pénalité de 100 €. Cette sanction s’applique à tout passager qui aurait manqué la limite de 40 minutes avant l’heure de départ de son vol, alors qu’il transporte un bagage à enregistrer en soute. Cette mesure vise à optimiser l’organisation et le chargement des bagages, garantissant la ponctualité des 3000 vols quotidiens de la compagnie sur le continent.
« Frais de départ manqué » : qui est concerné ?
Le nouveau système de « frais de départ manqué » ne concerne que les voyageurs qui, faute d’avoir respecté la limite imposée, se voient refuser l’accès à l’embarquement. Pour pouvoir monter à bord d’un autre vol, le paiement de 100 € est obligatoire, s’ajoutant au coût d’une nouvelle réservation, ces passagers étant considérés comme absents au départ initial. Cette disposition s’inscrit dans la volonté de lutter contre les retards causés par l’arrivée tardive des passagers au comptoir de dépôt des bagages.
Des options payantes en constante augmentation
Cette nouvelle politique s’ajoute à la longue liste des options payantes qui caractérisent l’expérience chez ce transporteur low-cost. Par exemple, l’enregistrement des bagages au comptoir entraîne déjà une surcharge de 55 €, alors que l’opération est entièrement gratuite en ligne. Ce modèle « à la carte » s’accélère encore davantage avec la disparition programmée des cartes d’embarquement papier, prévue pour le 3 novembre 2025. Les voyageurs seront donc contraints d’imprimer leurs cartes chez eux ou d’utiliser leur smartphone.
Des règles strictes pour accéder à l’embarquement
Respecter les horaires s’avère désormais indispensable pour tout passager désirant embarquer. La compagnie exige une présence au poste d’embarquement au moins 30 minutes avant le départ, l’embarquement se fermant 20 minutes avant l’horaire prévu. Faute de quoi, l’accès à l’avion devient impossible. Les contrôles de sûreté ou l’éloignement de la porte ne sont pas pris en compte pour justifier un retard ; la responsabilité incombe pleinement au voyageur.
Des conséquences sur le choix des voyageurs
Face à cette série de taxes supplémentaires et d’options obligatoires, les voyageurs doivent désormais anticiper chaque étape de leur parcours à l’aéroport. Plus globalement, les retards dans les aéroports, qu’ils surviennent aux États-Unis ou en Europe, continuent d’influencer l’expérience passager. S’y ajoutent de nombreux conseils pour s’adapter aux retards de vol, notamment pour les voyageurs neurodivergents, ainsi qu’une attention accrue aux obligations des compagnies aériennes envers leurs clients.
Une évolution du voyage low-cost
En consolidant davantage sa politique tarifaire stricte, la compagnie impose aux clients une organisation sans faille. Le non-respect des horaires et des nouvelles règles peut entraîner des coûts supplémentaires, influençant l’ensemble de l’expérience aéroportuaire. Pour tous ceux qui s’apprêtent à voyager, il est donc essentiel d’être informé des nouvelles pratiques en matière d’enregistrement pour ne pas voir leurs frais augmenter lors de leur passage à l’aéroport. Reste à savoir dans quelle mesure ces mesures influenceront le comportement des passagers, alors que le trafic aérien ne cesse de croître et que les retards de transports continuent d’impacter les voyageurs à l’international.
