Pourquoi ces étudiants de l’École 42 d’Angoulême choisissent-ils de coder plutôt que de profiter des plages cet été ?

EN BREF

  • Choix de coder comme moyen d’acquérir des compétences pratiques.
  • Passion pour la programmation et la création de projets innovants.
  • Envie de relever des défis technologiques.
  • Objectif de se préparer à une future carrière dans le domaine numérique.
  • Communauté soudée favorisant les échanges d’expertise.
  • Opportunités de stages et collaborations estivales intéressantes.

Sous le soleil de l’été, alors que de nombreux étudiants se préparent à plonger dans les eaux rafraîchissantes des plages, une poignée d’entre eux à l’École 42 d’Angoulême opte pour une voie différente. Au lieu de se laisser emporter par les vagues et les plaisirs estivaux, ces jeunes passionnés de technologie se consacrent au code et à l’apprentissage. Mais qu’est-ce qui les pousse à faire ce choix singulier ? Quelles motivations sublimes et aspirantes les animent dans cet univers numérique, loin des transats et des châteaux de sable ? Plongeons ensemble dans l’univers de ces étudiants déterminés, où l’écriture de lignes de code devient leur véritable ode à l’été.

À lire La Slovénie introduit un système de réservation obligatoire pour ses parcs nationaux dès mai 2026

Un choix motivé par l’ambition #

Chaque été, un nombre croissant d’étudiants de l’École 42 d’Angoulême choisissent de se plonger dans le codage plutôt que de s’adonner aux plaisirs balnéaires. Pour beaucoup, il s’agit d’une quête d’excellence et d’un désir ardent de réussir. Tom Gomez, par exemple, est déterminé à réussir son examen final pour intégrer l’école en octobre. Après un échec l’année précédente, il se consacre pleinement à cette nouvelle chance, avec une routine rigoureuse qui le voit coder chaque jour de 13 heures à 3 heures du matin.

L’apprentissage autonome et en équipe #

L’un des aspects fascinants de l’École 42 réside dans son approche pédagogique unique. Dans cet établissement, l’absence de professeurs et de consignes directrices force les étudiants à se former en autonomie. Axel Guiet, fraîchement diplômé du lycée, exprime sa surprise face à cette liberté déconcertante : « Ne pas avoir de prof, ni de consigne, c’est très bizarre. » Cependant, il admet que cet environnement atypique lui a permis de s’adapter et d’apprendre de ses pairs, créant ainsi une expérience humaine riche.

Un apprentissage pour l’avenir #

Pour ces étudiants, coder tout l’été n’est pas juste une activité estivale, mais une préparation essentielle pour leur avenir professionnel. Julie, 25 ans, juge cette tentative crucial pour son développement : « Cet apprentissage me servira dans ma vie professionnelle. » De même, Hetan Bourdin, un autre participant, reconnaît la valeur de ses efforts : « Même si je ne suis pas retenu, cette session m’aura appris plein de choses. Le codage est toujours utile. »

Un équilibre à trouver #

Malgré la détermination de ces étudiants, ils soulignent l’importance de trouver un équilibre entre le travail et le bien-être. Julie insiste sur le fait qu’il est crucial de « se donner à fond, tout en gardant un équilibre, c’est le plus important. » Cet équilibre entre rigueur et détente est un enjeu qui retient l’attention de tous, car le burn-out est un risque à éviter dans ce parcours exigeant.

À lire La Nouvelle-Zélande facturera une taxe de compensation carbone obligatoire sur chaque vol entrant dès février 2026

Partagez votre avis